Sur un air connu, on peut à coup sur affirmer : Dénoncez il en restera toujours quelque chose. La dénonciation en science est devenu monnaie courante faisant peser le doute que ceux qui montrent du doigt le feraient pour ne pas l’être à leur tour. Il a toujours existé à propos des articles une rubrique “Questions aux auteurs et leurs réponses” dans la mesure où l’on peut parfaitement ne pas accepter sans discussion, aussi bien un protocole expérimental que ses résultats. Il est vrai qu’avec l’ère du numérique, la communauté” scientifique” s’est trouvée dans l’obligation de créer des logiciels de détection des “copier/coller” et que (de la même manière) photoshop a autorisé certaines libertés avec la réalité. Mais n’existe-t-il pas le concept de réalité augmentée et de réalité virtuelle !! Quoiqu’il en soit trois articles se suivent et se ressemblent puisque portant sur le même sujet (Investigation Finds Pathologist Guilty of Systemic Misconduct, http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47297/title/Investigation-Finds-Pathologist-Guilty-of-Systemic-Misconduct/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=36103127&_hsenc=p2ANqtz-9R5IzPBeiP_HW1o_KxauhtVEAzcUlchkj6BRh91Dd3eL6vBCmQ1RF5XGBPbqhGfl7UG67xVPB5qBivNaPRe0esFq51Jg&_hsmi=36103127/, Misconduct Finding Could Impact PubPeer Litigation, http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47307/title/Misconduct-Finding-Could-Impact-PubPeer-Litigation/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=36178371&_hsenc=p2ANqtz–R7ybllM3YP__VkMuVl4Rrcb8lH7pnHzPJ8u_-K9SsggvNaCIWvbOJjZ7UlcICABuJxrmgKZapSq1m7QOjy59VNyfKRA&_hsmi=36178371, PubPeer Requests that Court Consider Misconduct Investigation, http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47319/title/PubPeer-Requests-that-Court-Consider-Misconduct-Investigation/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=36251319&_hsenc=p2ANqtz-9_B79gVlb4lzUde_d4LTN-fiUtIUvNYEDB0-uqwuQnx5hDi5ccTwKEVAFicNaTuZTatbOoJpTJFF3ufoACTP-0ACSUlQ&_hsmi=36251319). La complexité de ce cas vient du nombre des questions soulevées : un chercheur est convaincu de rapports scientifiques erronés pouvant porter atteinte à la crédibilité de la revue mais cette dernière qui suit une politique d’anonymisation se voit taxer de diffamation d’où la réplique juridique de celui qui dit avoir perdu de ce fait un futur poste … (PubPeer Pressure,https://www.insidehighered.com/news/2014/11/03/cancer-researcher-says-anonymous-online-comments-cost-him-job). A coup sûr, on ne peut que déplorer la fraude intellectuelle, mais quand la dénonciation anonyme devient-elle diffamatoire ? S’il est certain que la cause première ne saurait être acceptée, la conséquence n’est pas plus supportable ! Faudra-t-il condamner PubPeer ou en modifier le concept ?
Archive for octobre, 2016
Pourquoi tant de haine !
jeudi, octobre 27th, 2016Artefact
lundi, octobre 24th, 2016Comme chacun le sait, il y a artefact et artefact selon celui qui utilise le terme. Ainsi la lecture d’une photographie, d’une image radiologique, d’une image histologique peut-elle se révéler parasitée par une autre image sans rapport avec celle qui est l’objet de l’attention : il s’agit d’une image construite et non pas de l’image brute. Cette image ne participe pas à la réalité et doit donc être soustraite. Pour l’archéologue, au contraire, l’artefact est une construction de l ‘homme à laquelle il convient d’apporter une signification. Ce qui est troublant c’est que dans ces deux éventualités, il s’agit d’une construction, dont on tiendra ou non compte selon qu’il y aura eu ou non intentionnalité, ! Dans l’histoire des artefacts, une période en est particulièrement riche, le paléolithique. Mais dans le cas présent il ne s’agit pas de l’homme de néandertal mais du Sapajus libidinosus actuel ! (One sharp edge does not a tool make, http://www.nature.com/news/one-sharp-edge-does-not-a-tool-make-1.20824?WT.ec_id=NATURE-20161021&spMailingID=52572798&spUserID=MTUyNTcxOTczMTcwS0&spJobID=1023853150&spReportId=MTAyMzg1MzE1MAS2). En effet, ce charmant petit animal se livre à une occupation consistant à briser en de nombreux morceaux, des pierres, créant ainsi des formes aux arêtes multiples et acérées. L’homme de néandertal ne faisait pas autre chose et on admet que plus les arêtes sont nombreuses, plus sophistiqué est son objet. On se perd donc en conjectures en ce qui concerne ce singe capucin. Quant à l’auteur de l’article, ne pourrait-ce être enfin une réponse à certaines des questions posées par Stanley Kubrick en 1968 ?
De 1675 à 2016
mercredi, octobre 19th, 2016Toujours la même envie, celle de décrire pour comptabiliser et faire un état des lieux dont on aimerait à penser qu’il est définitif. Parce que l’homme sait qu’il est fini, il aime à finir pour inscrire, quand lui ne fait que passer. Il existe néanmoins des exceptions à cette immense liste d’inconnus. Ainsi en est-il d’Antoni Van Leeuwenhoeck, Théodore Schwann, Virchow (énumération largement non exhaustive …) qui eux se sont inscrits dans une séquence de découvertes successives, d’interprétations pour une mise en place de cette théorie cellulaire qui a permis ce concept à la fois simple et géant, car indispensable à une construction universelle du vivant qu’il soit animal ou végétal, de la cellule comme unité. Comme le recensement des êtres vivants qui se continue encore aujourd’hui et fait la joie de ses découvreurs, leur nom risquant de passer à la postérité (grâce en soit rendue à la classification taxonomique !) une grande idée vient de voir le jour : celle d’un atlas complet de toutes les cellules du corps humain ! (Cellular Cartography, http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47277/title/Cellular-Cartography/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=36025090&_hsenc=p2ANqtz-9nmI6Y6Jv620ex1vb1wdmMBVhpzOeowMKe_ZUgtXbrc3WZ3jyeVSTCQrZ6JM1_ZOJZaYlgznTd3vvTBiqxMaYajV8qKw&_hsmi=36025090). Si l’on a, au fil du temps, déjà décrit un certain nombre de types cellulaires on a également progressivement reconnu des sous types. Aussi la question est-elle peut être de savoir sur quels critères s’appuiera la définition d’une variété cellulaire : niche, morphologie, fonction, renouvellement, gènes ….., la liste semble infinie. Quoiqu’il en soit, le sujet risque de mobiliser un certain nombre d’intervenants en leur donnant du travail pour un certain temps, mais comment sera-t-on sûr qu’il n’y aura pas d’oubli !
Améliorer la méthode
mardi, octobre 18th, 2016Mettre en place une relation de cause à effet est une perspective enthousiasmante mais aussi une tache ardue ! Car il est loin le temps où l’on affirmait sans état d’âme, une cause un effet ! De quoi s’agit-il : d’une séquence inscrite dans le temps, où la cause précède l’effet mais aussi l’implique ce qui signifie aussi une/la réponse à une/la question. Dans cet ordre idée, la scientifisation de la médecine a mis à jour une mine de causes probables qu’il convient de tirer au clair. Pour ce faire il semble bien que LA méthode n’ait pas encore été mise au point mais il est vrai que l’épidémiologie humaine s’inscrit dans un temps différent de celle de l’espèce murine par exemple ou mieux encore de celle des diptères ! C’est ce dont traite l’article Rethink the links between genes and disease (http://www.nature.com/news/rethink-the-links-between-genes-and-disease-1.20771?WT.ec_id=NATURE-20161013&spMailingID=52515861&spUserID=MTUyNTcxOTczMTcwS0&spJobID=1022286029&spReportId=MTAyMjI4NjAyOQS2) tant il est vrai que les progrès dans la connaissance du génome humain ont mis en évidence mais uniquement de façon putative un nombre de variations génétiques qui pourraient, de ce fait, être responsables d’affections. Or l’observation clinique est loin de suivre les données scientifiques d’où un réajustement indispensable non pas de la clinique pas plus que de la génétique mais du lien qui lie les deux. Il semble qu’entre le généticien et le clinicien devrait se renforcer un chaînon indispensable celui du statisticien qui établirait la significativité et la robustesse des résultats parce que les facteurs et les populations auraient été correctement définis.
Un Narcisse peut en cacher un autre
dimanche, octobre 16th, 2016Quelques aient été les raisons qui poussèrent Narcisse à se mirer dans l’eau, sa mort était écrite tout autant que la fleur qui en naquit. Ainsi un amour immodéré de soi-même conduit-il à une disparition que vient tempérer une renaissance qui défie le temps. Ce personnage témoigne de l’exemplarité de la mythologie dans la culture européenne puisqu’il a donné naissance au concept de narcissisme selon Freud (1914) d’où provient par dévoiement, la perversion narcissique selon Paul-Claude Racamier (1986), bien que non reconnue comme trouble clinique. Le narcissisme que l’on a pu qualifier de première étape de la confiance en soi, n’aurait-il que des désavantages et devrait-il être combattu plutôt qu’admirer voire rechercher ? C’est en quelque sorte la question que se pose Bruno Lemaitre en prenant comme point de départ, Jacques Monod, nobélisé en 1965 (The Narcissistic Scientist (http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47037/title/The-Narcissistic-Scientist/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=35370370&_hsenc=p2ANqtz-_BArtIiN1fFi1j1M4LmAIcn2tcpBU0GskzSl6zfMvC4FH3VKjnHr0jghj2RJ7ieL5pydr4CpyZxcjkppFylJol3AwSbg&_hsmi=35370370) et son livre An Essay on Science and Narcissism regorge d’exemples (Book Excerpt from An Essay on Science and Narcissism, http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47179/title/Book-Excerpt-from-An-Essay-on-Science-and-Narcissism/). En effet pourquoi donc cette aptitude à l’auto satisfaction épargnerait-elle certaines classes plus que d’autres et en particulier les scientifiques ? Leur désir de compréhension basée sur la rationalité objective devrait les protéger mais il semble bien que ce ne soit pas le cas et qu’ils perdent à plus ou moins long terme leurs repères, balayés par un surmoi débridé ? C’est alors que disparaît la relativité de la vérité scientifique dynamique au profit d’une vérité absolue statique, et ce ne sera plus un bien pour un mal, mais un mal pour un bien.
Mathusalem connais pas
mardi, octobre 11th, 2016Après quelques jours de silence, il est bon de se replonger dans l’actualité des nouveautés scientifiques. Parmi celles-ci il en est une qui traite du temps. Il ne s’agit ni plus ni moins que du temps de la vie humaine, celle qui fait régulièrement la une des journaux avec des allures de match entre les pays, la France et Jeanne Calment, l’Italie et Emma Morano. Il est certain que dans cet ordre d’idée, le champion toutes catégories reste et restera Mathusalem dont le nom est de ce fait devenu synonyme de longévité. Or ce dont l’homme se préoccupe depuis ….., c’est de son temps de vie terrestre, puisqu’il est probablement le seul à avoir conscience de sa finitude. Ainsi la question posée par l’article, The limits to human lifespan must be respected, http://www.nature.com/news/the-limits-to-human-lifespan-must-be-respected-1.20728?WT.ec_id=NATURE-20161006&spMailingID=52464950&spUserID=MTUyNTcxOTczMTcwS0&spJobID=1020921868&spReportId=MTAyMDkyMTg2OAS2) concerne-t-elle la façon d’envisager les limites de la vie humaine : respect ou transgression ? Que la durée de vie, longévité continue d’augmenter et ce dans de meilleures conditions est le fait d’actions externes, c’est l’espérance de vie dont on voit bien qu’elle est fonction de nombreux facteurs, pays, sexe, rang sociétal …, mais sans toucher à l’horloge naturelle. Si les facteurs environnementaux sont multiples, les facteurs internes sont loin d’être tous répertoriés. On parle volontiers du raccourcissement des télomères et du rôle que pourrait tenir l’enzyme télomérase comme une clef qui ouvrirait la porte vers une prolongation de la durée de vie. Mais c’est là que se posent plusieurs questions : est-il possible et licite d’augmenter indéfiniment et quels en seront les effets collatéraux ? Ces derniers seront certainement d’importance essentiellement en ce qui concerne le rapport entre les besoins de la population humaine et ce qui pourra lui être offert. Mais en ce qui concerne la première partie de la question, qui a jamais établi l’âge butoir à la longévité de l’homme. Les acquis auraient semblé bien improbables il y a quelques siècles et c’est déjà certainement la survenue d’individus exceptionnellement âgés pour leur époque qui explique le personnage de Mathusalem. On a donc déjà répondu à la première partie de la question ! En addendum, on pourra lire avec intérêt l’article, Study: Human Life Span Maxed Out (http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47209/title/Study–Human-Life-Span-Maxed-Out/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=35506671&_hsenc=p2ANqtz-8JaM3f-gSXmPUPs4yRjRX7lKsP8e9Q11lJqUCYgsAXEnxVvLXRBERVsubDBkijk17FpmlxSZfPdVix_1G8II_CN1TyvQ&_hsmi=35506671)
Ni excuse ni même prétexte !
mercredi, octobre 5th, 2016Ce qu’il ne faudrait surtout pas faire : chercher auprès de MR/MME Google des informations liées à de ces deux mots entrainement cérébral. En moins de 0.54 secondes, le moteur de recherche détecte 4 030 000 résultats classés selon le PageRank inventé par la société éponyme : un algorithme d’analyse des liens concourant au système de classement des pages Web utilisé par le moteur de recherche Google. Devant une telle avalanche de conseils il devient difficile de faire un choix et donc d’avoir un avis éclairé sur le sujet. Ce dont on peut néanmoins être sur, c’est de la pertinence du sujet ! Si l’on considère que les cruciverbistes sont des adeptes de sport cérébral, l’engouement est ancien puisqu’on on fait remonter à 1913 l’invention de la première grille par Arthur Wynne ; cette dernière reposant certainement sur des jeux analogues plus anciens sans qu’on en connaisse exactement la date. Toujours est-il qu’il existe une presse spécialisée au titre évocateur de Sport cérébral® (Sport Cérébral est la référence en langue française des grilles et jeux commercialisés par Keesing, http://www.keesing.com/fr/marques/sport-cerebral) avec pour qualificatif “Le spécialiste des revues de jeux“. Quoiqu’il en soit, il est inutile de prendre pour prétexte ou comme excuse un besoin à la fois urgent et indispensable de “muscler” son cerveau par le biais de jeux dits d’entrainement cérébral (Do “Brain-Training” Programs Work?, http://psi.sagepub.com/content/17/3/103.full, résumé dans, Evidence Lacking for Brain-Training Products, http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/47190/title/Evidence-Lacking-for-Brain-Training-Products/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=35292751&_hsenc=p2ANqtz-9U6xcRa6KZyYwld3TmepF3Lr1IH_gH3i2Ei0y5HdjcXGd6sMNBdVQmnA_5QXlqPDpduzHa0tlVoVD7XZb5j5g7PBX-7g&_hsmi=35292751). Il se pourrait bien que la seule amélioration consiste en de meilleures performances concernant le jeu pratiqué surtout quand on s’y adonne en réseaux contre d’autres partenaires !
Et encore un de plus …
dimanche, octobre 2nd, 2016Les semaines se suivent et les publications aussi, chacune faisant assaut d’originalité par rapport à la précédente ! Dans le domaine des sens, rien ne semble plus impossible ; il est vrai que dans le règne animal, l’humain accuserait, d’une certaine façon, un retard évident (Henri Brugère, La magnétoréception, un nouveau chapitre de la physiologie sensorielle, http://hdl.handle.net/2042/47984). Donc voici que s’avance un prochain sixième sens : la magnétoréception. En réalité on ne peut pas vraiment parler d’un sens naturellement humain puisque cette perception passe par l’intermédiaire d’une peau artificielle pourvue de capteurs (Smart Skin Enables Magnetoreception, http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/46786/title/Smart-Skin-Enables-Magnetoreception/&utm_campaign=NEWSLETTER_TS_The-Scientist-Daily_2016&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=35017124&_hsenc=p2ANqtz–iXOl7zr3R9a52bF8Unre5nZ_PEprCbcsRRoBKg8KYeuv4ZRRxRuoXVMaTL2NNKYhlSgurGFxFR5E7ZmvSmxhYERfX0g&_hsmi=35015240). On pourrait, dans un premier temps être appelé à sourire de cette possibilité de se revêtir d’une nouvelle peau ! Mais n’est-ce pas le rêve d’un certain nombre des super héros des comics Marvel enfin à porter de main ? Ainsi pourrait-on en ce début du XXI° siècle passer du rêve à la réalité sans difficulté et si les médias venaient à s’emparer du sujet il est certain que les réseaux sociaux bruisseraient nuit et jour d’autant qu’il a déjà été écrit sur ces matériaux intelligents qui se transforment sous l’influence de différents facteurs comme la chaleur, la lumière ou autre (Vetement etanche thermochrome, http://www.google.fr/patents/EP1631161B1?cl=fr) ! Mais il ne s’agit aucunement d’une facétie : cette magnétoréception pourrait venir en aide à certains types d’altérations du sens profond de la position, en d’autres termes aider à retrouver la place d’un corps amoindri dans un environnement devenu hostile. Pour ce qui est de retrouver son chemin l’homme possède déjà des cellules adaptées (cellules de grille,) dont il se sert, il est vrai, plus ou moins bien.