Passé, futur et principe de précaution

Si en cette période estivale, vient l’envie irrépressible de mettre un terme (momentanément) à l’activité fébrile des mois qui précèdent, il faut considérer la dite envie comme un appel venu de notre passé.

Dans l’antiquité grecque, le seul travail utile que le citoyen avait le droit d’exercer, était la réflexion.Pourquoi donc, ne pas réfléchir à la société que nous faisons et à ce que la société nous fait ! Comment peut-on expliquer ce besoin du passé au travers d’une nature magnifiée, et cette utilisation de tous les moyens à notre disposition pour aller plus vite en tout !

Un frein devenant indispensable, s’impose un principe de précaution, limitateur et irrationnel.

Passé, futur et principe de précaution peuvent-ils s’accorder tels qu’on les entend aujourd’hui ?

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