Archive for juillet, 2012

A lire pendant les vacances sur la plage pour ne pas mourir idiot !

jeudi, juillet 5th, 2012

Les dinosaures n’étaient pas des animaux à sang froid ( http://the-scientist.com/2012/06/27/dinos-not-necessarily-cold). Des microparticules pourraient délivrer de l’oxygène en cas d’hypoxie sévère en état d’urgence ( http://the-scientist.com/2012/06/29/microparticles-deliver-). La méthylation de l’ADN est liée à la perte de mémoire (http://the-scientist.com/2012/07/02/dna-methylation-linked-to-memory-loss/). L’ubiquitine, la bien nommée, est très largement impliquée dans des processus cellulaires sans rapport les uns avec les autres (On the Chain Gang |http://the-scientist.com/2012/07/01/on-the-chain-gang/). A tous ceux qui sont en droit de se poser la question de savoir pourquoi la majorité des articles présentés provient de la revue the-scientist, la réponse réside dans la multiplicité des sujets abordés, la facilité d’accès aux textes originaux. Si un quotidien peut être lu en version électronique, il est normal qu’il en soit de même pour un journal scientifique ! Sauf qu’il est parfois difficile de trouver chaussure à son pied aussi facilement. Sans se référer systématiquement à l‘Impact Factor, il faut néanmoins choisir parmi tous les titres de revue maintenant en free access et c’est là que commencent les difficultés, car si les sujets auxquels on s’intéresse sont légion, il en est de même pour les revues toutes plus pointues les unes que les autres.  Alors, pour être toujours en vacances,  musardons parmi des sujets venus de tous horizons et qui se laisseront aborder au gré de nos lectures. Laissons la science venir à nous !

 

La dernière console de jeu !

mercredi, juillet 4th, 2012

Si “Dieu joue aux dés” à quoi un scientifique peut-il jouer ? La réponse est dans l’article “Toying with RNA” ( http://the-scientist.com/2012/06/26/toying-with-rna/). Il est désormais possible de créer des molécules d’ARN grâce à “un jeu” en ligne sur lequel chacun peut se brancher à partir de l’article cité. Les quatre bases nucléiques nécessaires pour ce faire, Adénine, Guanine, Cytosine et Uridine, sont à la disposition des joueurs qui n’ont plus qu’à tester des assemblages en fonction de formes données. Pour les plus incompétents, il s’agit d’un parfait jeu de hasard ; pour les plus avertis, ils peuvent rapidement aboutir à un ARN qui sera finalisé dans un laboratoire où leur molécule conceptuelle aura été proposée. Pourquoi direz-vous ? En fait comme le souligne l’article, l’ARN non codant est largement méconnu en ce qui concerne ses formes. Si donc tous les “candides” du monde se donnent la main pour proposer des molécules virtuelles, c’est bien le diable s’il n’en sort pas une que la nature pourra reproduire ! Comme quoi, si Dieu a joué aux dés, et si Dieu a créé l’homme à son image, il est normal que l’homme joue aux dés !