Quel remède ?

diderot d'alembert 011Depuis que les revues scientifiques existent avec comme cause et/ou conséquence que des travaux leur sont proposées, il en est qui sont refusés et il s’ensuit donc (également depuis toujours) deux possibilités : se retirer vs persévérer, d’où l’expression bien connue ” Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage ” (Boileau, 1674). Il semble qu’aujourd’hui certains découvrent cette vérité et trouvent indispensable de donner les directives qu’il faut suivre pour transformer une déception en une satisfaction (Riding Out Rejection, http://www.the-scientist.com//?articles.view/articleNo/42261/title/Riding-Out-Rejection/) ! On peut se poser la question de savoir s’il existe encore quelques individus sourds aux recommandations listées ! En existe-t-il encore un qui ne suive les directives rapportées alors même qu’il ne les aurait pas lues ? Il ne s’agit ni plus ni moins que d’une méthode pédagogique d’enseignement à l’usage de celui qui ayant cherché veut faire connaître (et non pas se faire connaître !) en le publiant, ce qu’il a cru trouver ! Ainsi pour aller plus vite, on peut choisir entre abandonner la méthode d’apprentissage basée sur l’essai/erreur pour suivre un mode d’emploi, comme lorsque l’on découvre un mouvel appareil avec son descriptif, ou bien, nouvelle méthode, envoyer son texte à une peer revew, entendez à des chercheurs appartenant au même domaine que celui qui propose le texte et qui sont donc à même de donner rapidement un avis compétent pour une publication à venir.  Mais une fois la publication acceptée puis couchée sur la papier, l’auteur n’en n’a pas terminé. Il reste une dernière étape à ce parcours du combattant, étape à laquelle il sera confronté à son corps défendant  : le plagiat !!!! (BEST PRACTICES FOR AVOIDING PLAGIARISM (https://www.aje.com/assets/docs/pdf_-_in_your_own_words_-_best_practices_for_avoiding_plagarism.pdf?&utm_source=American+Journal+Experts+List&utm_campaign=Broken_Download_Plagiarism3_5_2015&utm_medium=email&utm_source=AJE+Plagiarism+White+Paper&utm_campaign=fc048816e7-Broken_Download_Plagiarism3_5_2015&utm_medium=email&utm_term=0_e7f4a1c126-fc048816e7-232405009). Et il s’agit là de bien pire, car l’imagination du pirate ne connaît plus de limite, aidé qu’il est par la technique. Aussi, si le premier article cité n’emporte pas la conviction, le second par contre mérite d’être lu avec beaucoup plus d’attention !

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