Que l’on n’entende pas ce titre comme l’intitulé de l’association française du même nom, mais comme une question. La lecture (rapide) de titres d’articles différents mais appartenant au domaine général de la recherche en biologie, peut laisser le doute planer sur la validité, l’intérêt du choix de l’un plutôt que d’un autre. Bien sûr, ce choix reflète les domaines qui d’une certaine façon sont chers à celui qui les rapporte, qu’il les aie lui même explorés ou même tenté d’explorer. Qu’il les approuve ou les réfute, la démarche s’inscrit dans une volonté de partage comme le souligne un post publié dans le Jim de Mars(Science : qui sait encore te lire ? http://www.jim.fr/e-docs/00/02/1B/9D/document_actu_pro.phtml).
Aucune des publications choisies ne l’a été pour apporter une solution définitive mais au contraire pour proposer une ouverture en donnant la possibilité de se poser des questions. Si le questionnement est une démarche vitale point n’est besoin de tout résoudre, il est de loin préférable de trouver dans chacune des réponses, matière à nouvelle question : le savoir comme une poièse. En somme, laisser ouverte toute réponse, refuser l’absolutisme du dogme, fuir le définitif dans lequel sombre toute quête. Se souvenir du symbolisme du Graal pour savoir échapper à la fin des temps aventureux des chevaliers de la table ronde.
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