En cette fin d’année, il faut lire le court article de Katherine Larson (http://the-scientist.com/daily/2011/12/23b.htm). Parce que c’est le sensible exprimé d’un chercheur vis à vis de la réalité de sa vie au quotidien. Parce que c’est la recherche du beau sous tendu par un malheur humain qui aurait pu devenir virtuel au fil des heures passées au laboratoire. Parce que c’est un cheminement vers une transcendance, et non pas une réification. Parce que c’est ce que chacun, à partir du banal voudrait pouvoir/savoir transformer. Parce que il n’y a pas que la tansmutation du vil en or, et donc parce que c’est aussi une autre façon de voir ce couple « indissoluble » formé par l’esprit et la matière !
B, C’est bien aussi que la symétrie parle à un artiste peintre !
symétrie, symétrie, beau texte pour la fin de l’année.