Pour faire suite au dernier article proposé, et après réflexion (ce qui prouve une fois encore et s’il en était besoin, que la réflexion doit toujours précéder l’action !) on est en droit de se poser une question dont la pertinence n’échappera à personne. Si des neurones sont bien à l’origine du processus de résilience, pourquoi cette qualité n’est-elle pas offerte à tous ? A cette question, plusieurs réponses seraient dans l’ordre du possible et en particulier : Quid de ces neurones chez l’homme ? Pour le savoir, comment pourrait-on échapper à la pratique de biopsies parfaitement ciblées (tegmentum ventral !!!) sur des échantillons parfaitement représentatifs d’individus ayant fait preuve de résilience comparés à des individus qui en seraient dépourvus. Ces biopsies permettraient d’une part de vérifier la présence vs l’absence des dits neurones, d’autre part de rechercher, s’il existe ou non des différences entre les neurones des résilients et ceux des non-résilients en allant du plus simple au plus complexe : depuis l’étude histologique jusqu’à la biologie moléculaire. Ne pas oublier l’étude comparative de la molécule de Dopamine, et de ses récepteurs ….. Seule la première étape pourrait bien être la plus difficile, pour le sujet autant que pour son neurochirugien. La démarche analogique qui fut utilisée dans les descriptions anatomiques entre les animaux et l’homme avait entraîné un certain nombre d’erreurs qu’il a fallu corriger , il se pourrait bien qu’il en soit de même aujourd’hui ( au moins dans certains domaines). Ceci étant la gente murine permet quand même à l’homme de toujours élargir le champs de ses investigations !
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