Ou « quand art et écologie marchent de concert ».
C’est bien ce qui ressort des images prises par Richard Smith (Slideshow: Images from The World Beneath, https://www.the-scientist.com/slideshows/slideshow–images-from-the-world-beneath-66666 ) et qu’il est conseillé de regarder de toute urgence. En effet les images ne sont pas seulement belles comme le sont les modèles, elles sont également à l’instant T la preuve de l’existence d’espèces animales marines que l’on ne voudrait pas voir disparaitre (How Underwater Photography Propels Marine Biology, https://www.the-scientist.com/reading-frames/how-underwater-photography-propels-marine-biology-66588?utm_campaign=TS_DAILY%20NEWSLETTER_2019&utm_source=hs_email&utm_medium=email&utm_content=78977356&_hsenc=p2ANqtz-8t0AEtIe8zq77v4tdQM3P5Ckob3Ah_VZ-OEraDAzsAzwSNsU3tJMlkgVWFMo2Nrai5ihxOfN08ztg_MY97zCUzFNcF4w&_hsmi=78977356) . La représenttion visuelle en cause est une/des photographie(s) dont on espère qu’aucune n’a été « photoshopée » pour répondre aux canons des stars de la vie sous marine. Car l’image est un domaine lourd de significations (L’image et les signes, Matine JOLY, Nathan, 1994, 188 p, Sylvie Thiéblemont-Dollet, https://journals.openedition.org/questionsdecommunication/7557 ). Si l’on exclue l’idée antique selon laquelle « l’image a été soupçonnée de menacer le langage », il n’en reste pas moins vrai surtout à l’époque actuelle, qu’à l’image « imitation » s’attache un soupçon de possible mensonge. Pour s’assurer que ce n’est pas le cas, il ne reste qu’à suivre l’auteur dans ses périgrinations.
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