Pourquoi vivre en société

Il est plus que certain que l’abeille n’a pas conscience de l’étendue des bienfaîts qu’elle retire de sa vie au sein de la ruche (Bees Reverse Brain Aging |http://the-scientist.com/2012/07/06/bees-reverse-brain-aging). Il en est de même pour le B. thuringiensis quand il infeste la chenille mangeuse de choux(Bacterial Exploitation | http://the-scientist.com/2012/07/05/bacterial-exploitation/). La première ne sait rien du vieillissement de son cerveau en rapport avec ses tâches. Le second n’est pas plus au courant du fait que s’il ne produit pas de toxine, il peut utiliser un congénère qui en produit et ainsi se faire aider par lui ! Il existe bien dans ces deux cas, une coopération agissante entre des individus de même espèce au sein d’un groupe. Il s’agit donc bien de sociétés dont l’homme, grâce à sa technologie, découvre combien elles sont nombreuses, complexes et sophistiquées. Mais il ne s’agit là que d’un premier temps, vite oublié au profit de l’utilité que l’homme peut en tirer pour son bénéfice personnel !

Tags:

Leave a Reply

Vous n'êtes pas un robot, n'est-ce pas ? *