Celui par qui le scandale arrive, c’est celui qui porte au vu et au su de tous une parole scientifique dont on se pose toujours la question de savoir quel est le degré de gauchissement qu’elle aurait pu subir. L’article « Mouse study findings prove contentious among scientists »(http://pittnews.com/index.php/hidden/71071-mouse-study-findings-prove-contentious-among-scientists) est un modèle du genre dans la mesure où les questions posées sont déjà au nombre de quatre pour les principales. La première concerne l’existence d’un droit universel à la connaissance. La deuxième, si un tel droit existe, à qui sera accordé le droit de transmission. Troisièmement, de l’interprétation naît le/les questionnement(s) de ceux qui sont à l’origine de la découverte. Et pour ce qui est de la quatrième il convient de ne pas oublier l’intermédiaire qui risque de se trouver en but aux critiques croisées de ses lecteurs aussi bien que de ceux qu’il a cru traduire pour la bonne cause ! Faudrait-il que l’on fasse taire l’un plutôt que l’autre ? On pourra sereinement répondre non à cette question lorsque l’on aura réintroduit le désir de discussion né de l’écoute et du temps de la réflexion.
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