Il est habituel de dénombrer six types de robots parmi lesquels les robots humanoïdes constituent le sujet de l’article Self-healing ‘living skin’ can make robots more humanlike — and it looks just as creepy as you’d expect. Le terme même d’humanoïde rend compte d’un fait essentiel celui du rapport à l’homme. Si l’on considère la société humaine, les rapports sont essentiellement fondés sur des signes extérieurs émis par les protagonistes en présence à savoir : la parole, les mimiques, la gestuelle en général. Aujourd’hui le plus difficile encore concerne le domaine des mimiques. C’est la raison pour laquelle la recherche se penche sur le visage du robot humanoïde dont elle veut qu’il soit le plus proche de son modèle humain. Qui dit visage, dit mobilité, mais une mobilité adaptée c’est à dire une expressivité adaptée à la circonstance. C’est la raison pour laquelle la recherche s’oriente vers la réalisation d’un tégument plastique, d’un masque répondant aux critères indispensables pour qu’un humain éprouve des sentiments d’empathie envers cette encore-machine. La peau artificielle existe déjà mais il convient essentiellement de savoir la fixer de façon constante, voire même de la doter d’un pouvoir d’auto réparation dans la mesure où l’utilisation du robot le confronte à divers types d’altérations. Comme quoi il n’est pas si simple de masquer un visage pour faire de celui qui le porte un être différent de ce qu’il est en réalité mais dans le même temps proche de celui qu’il n’est pas !