Imaging the canine Brain (http://www.the-scientist.com//?articles.view/articleNo/39228/title/Imaging-the-Canine-Brain/ ). Soit un homme et un/son chien. Il importe peu du reste qu’il s’agisse du sien ou d’un autre. Le chien occupe un statut particulier dans l’environnement humain. Il est vrai que ses débuts sur la scène sociétale furent relativement difficiles puisqu’il fut d’abord assimilé à une machine. Pavlov en fit, probablement contre son gré, un autre type de machine, la machine à réflexes ! Encore est-il bon de rappeler que la finalité concernait l’étude de réflexes humains. Il est néanmoins établi depuis longtemps/toujours que le chien est devenu le fidèle ami de l’homme après que ce dernier eût domestiqué un ancêtre lointain du genre loup. Avec plus ou moins de facilité, l’homme parvient en effet à se faire obéir de son compagnon qui accomplit pour lui des tâches qui peuvent être particulièrement complexes. C’est alors que l’homme se pose cette question essentielle : ” Mon chien se pose-t-il des questions à mon propos ? “Comment résoudre ce problème ? En apprenant au chien un nouveau tour qui le rapprochera un peu plus encore de l’univers de son maitre, puisque il ne s’agit ni plus ni moins que de le soumettre à un examen auquel il arrive également à son maître de se soumettre, une étude IRM fonctionnelle. La seule difficulté consiste à garder son calme, ne pas bouger dans l’enceinte de la machine. Aucune difficulté pour le chien, alors qu’il arrive à certains maîtres de ne pouvoir le faire. Jusqu’à dix minutes d´un calme olympien permettent la réalisation de l’examen. En réalité il ne s’agit que de comparer des aires auditives et leurs réponses à des stimulations dans le même domaine. Mais on a encore le droit de rêver ?